L'article n'a pas encore été jugé complet dans ses sources et ses informations. N'hésitez pas à y apporter vos éléments ou à discuter de la page.
Place d'Armes
En 1842 (réunification des places)
En 2015 (nom actuel)Édifices notables:Hôtel de Ville, Corps de garde de Metz, cathédrale Saint-Étienne, Parlement, Palais, cloître de Saint-Chrodegang, chapelle de Saint-Pierre-le-Vieux, Notre-Dame des Lorette, chapelle des Lorrains, Saint-Pierre-aux-Images, office de tourisme, grenier du chapitre, église Saint-GorgonAnciens noms:Place devant la Grande Église, La Place, Place devant le Grand Moûtier, place de la Loi, Paradeplatz, place devant le Palais, place Napoléon, place de l'Hôtel de Ville
La place d'Armes Jacques-François Blondel est une grande place royale [Note 1] située au centre-ville de Metz. Elle a été construite selon les plans de Jacques-François Blondel sur l'ancienne place devant le Grand Moûtier et sur les vestiges de plusieurs édifices religieux. Située au croisement de la rue des Jardins, de la rue du Chanoine Collin, d'en Fournirue et de la rue d'Estrées, elle est entourée par l'ancien corps de garde, l'ancien Parlement, la Cathédrale Saint-Étienne et la mairie.
Histoire
Moyen Âge
Au XIIIe siècle, la place, nommée place devant la Grande Église ou place devant le Grand Moûtier (étymologiquement, « devant le grand monastère », mot qu'on retrouve dans le (Noir)moutier français, (Neu)Münster allemand ou (West)Minster anglosaxon) sert de place centrale de la ville. À la construction de l'église Notre-Dame de la Ronde, cette place a été largement réduite [1]. En 2022, son emprise correspondrait au quadrilatère situé entre l'aile sud de la mairie, l'angle de la rue Fabert, l'angle de la rue Blondel et le portail de la Vierge, au sud-est de la cathédrale Saint-Étienne.
Renaissance
Au XVIe siècle, la place sert désormais de place d'armes dans la ville militaire de Metz. La place est bordée par la nouvelle cathédrale Saint-Étienne au nord-ouest, le cloître de Saint-Chrodegang au nord-est (sur la place d'Armes actuelle), et le Palais des Treize, siège de l'administration messine, au sud-ouest (sur la place Jean-Paul II actuelle) [2]. Sur certains plans, elle est nommée « La Place » [3]. À la fin du siècle, en 1686 et 1691, la ville envisage l'idée de construire une grande place.
XVIIIe siècle : les grands travaux de Blondel
En visite en 1744 à Metz, le roi Louis XV souhaite une place d'Armes rectangulaire et symbolisant les quatre pouvoirs (religieux, militaire, bourgeois et royal) dans une ville qui ne dispose plus de grande place suite à la disparition du Champ à Seille (image ci-contre). Il ordonne au maréchal de Belle-Isle son exécution.
En 1731 déjà, Belle-Isle a commencé par agrandir la place, jusqu'alors accessible seulement en Fournirue et par la rue derrière Saint Gorgon (aujourd'hui disparue). Pour cela, il perce les rue des Jardins (en 1754 [4]) et la rue du Chanoine Collin, et fait prolonger le passage du Palais épiscopal dans une grande voie vers la place de Chambre sans passer par la place Saint-Étienne. Ceci permet d'ailleurs aux Messins de ne plus avoir à traverser la nef de Notre-Dame de la Ronde pour relier rapidement la place devant le Grand Moûtier à la place Saint-Étienne.
En juillet 1754, le maréchal de Belle-Isle demande à Jacques-François Blondel de réaménager la place nommée désormais place d'Armes [5] sur l'ancienne place devant le Grand Moûtier (toujours comprise dans l'espace entre les statues et le bâtiment du parlement aujourd'hui). Pendant quatre ans, les expropriations s'enchaînent. En août de la même année, c'est le mur du cimetière de Saint Gorgon qui est abattu en premier [6]. La construction se fera jusqu'en 1770. Blondel fait raser le cloître de la cathédrale et le jardin du Chapitre, le logement des musiciens et ses maisons attenantes, la chapelle Saint-Paul, la chapelle des Foës (dite Notre-Dame des Lorette, tous ces bâtiments se situant au centre de notre place actuelle), la chapelle de Saint-Pierre-le-Vieux (emplacement actuel du bâtiment de l'office de tourisme), la chapelle des Lorrains (sur la place, côté cathédrale devant le portail de la Vierge), la petite collégiale de Saint-Pierre-aux-Images, un ensemble de petites maisons, et le grenier du Chapitre (tous trois à l'emplacement actuel de l'Hôtel de Ville). Le sol est aussi arasé et abaissé de cinq mètres entre la rue du Four du Cloitre et le parvis de la cathédrale, et deux mètres dans la Fournirue.
En 1762, le maréchal d'Estrées, successeur de Belle-Isle, fait poursuivre les travaux et imagine une place de 125 mètre sur 50 [7] entourée de bâtiments de style classique. De 1766 à 1771, Blondel, architecte théoricien du classicisme, fait construire par Gardeur-Lebrun le nouvel Hôtel de ville (demandé par Belle-Isle en 1761 avant sa mort) sur le grenier du chapitre, d'une façade de 30 mètres de long. Les deux frontons sont sculptés par Rollier et les portes en grilles par Joseph Cabossel et Pierre Janin [5]. L'aile sud, côté Fournirue est terminée entre 1785 et 1788 sur les ruines de l'église Saint-Gorgon. Le siège de la politique messine était jusqu'en 1765 situé dans le Palais des Treize, mais cet emplacement doit désormais accueillir le nouveau Parlement dont seule la façade sera construite. Il fait aussi construire le Corps de Garde en face du parlement sur l'ancien Saint Pierre le Vieil. Supprimé en 1771 par un édit, le Parlement, la cour de justice souveraine de la ville, est remis en fonction en 1775 dans ses nouveaux murs. Il restera en activité jusqu'au décret de l'assemblée du 3 novembre 1789.
En 1764, Blondel construit en face de la mairie, sur la façade de la cathédrale, des galeries dans le même style classique [Note 2], avec deux pavillons dans chaque angle où s'installent des commerces et restaurants jusqu'en 1860 où les boutiques sont détruites jusqu'en 1882. Cela permet de remettre à jour le portail de l'ancienne église Notre Dame de la Ronde qui est restauré en 1880 et ouvert au public le 4 avril 1885 [6]. Blondel construit en 1882 le nouveau portail de la façade sud de la cathédrale, lui aussi néo-classique, qui sera démonté en 1898. La place d'Armes était alors entièrement entourée du même style classique à arcades sur ses quatre côtés, bien que le Parlement ne soit pas terminé au-delà de sa façade.
En 1771, la place est alors séparée en deux par les deux trophées situés au sud et reliés entre eux par des chaînes. La place devant le Parlement est renommée place devant le Palais, jusqu'à l'unification des deux places en 1842 [1].
En 1792, juste après la Révolution, on renomme la place d'Armes en place de la Loi et on y plante un arbre de la Liberté, un chêne, en plein milieu le 20 mai [5].
XIXe siècle : changements de noms successifs
En 1806, quelques mois avant la première visite de Napoléon Ier à Metz, la place s'appelle place Napoléon le 18 janvier. Puis le 1er juillet 1816 elle est renommée place de l'Hôtel de Ville avant de redevenir place Napoléon le 27 juillet 1833. (Ou place Napoléon en 1806, place d'Armes en 1824, place Napoléon en 1852 et places d'Armes en 1870 [6]).
Entre 1854 et 1860, la rangée de galeries, construite par Jacques-François Blondel sur la place d'Armes, et faisant face à l'Hôtel de Ville, est démolie sur demande de l'évêque de Metz qui souhaite redonner un style gothique à l'édifice [8].
Après 1871 elle prend une fonction de place de parade militaire. Entre 1875 et 1918, sous l'occupation allemande, elle devient la Paradeplatz, vitrine du pouvoir militaire en place grâce à des manœuvres ou réceptions solennelles. Durant l'annexion allemande de 1870, la relève de la garde du régiment prussien en garnison à Metz se fait tous les jours à 12h30 sur le place, qui borde le corps de garde de Metz. Le 27 novembre 1878, on rénove la place pour y faire passer le tramway de Metz. La ligne permet de relier la gare de la place du Roi George à la gare de Devant-les-Ponts. Elle est inaugurée le 5 mai 1902 [5].
XXe siècle
En 1918, après la guerre, la place redevient place d'Armes puis, à nouveau, durant la Seconde Guerre mondiale, entre 1940 et 1944, redevient Paradeplatz. Elle retrouvera son nom définitif à la libération, fin 1944. Dès 2016, les plaques de la place changent et indiquent place d'Armes Jacques-François Blondel, suivant une décision du conseil municipal en octobre 2015 [9]. L'hôtel de ville a été classé aux Monuments historiques le 15 décembre 1922, quelques temps après l'hôtel du district devenu office de tourisme de la ville, le 1er avril 1921. La place en elle-même est inscrite le 12 janvier 1948.
De 1986 à 2003, un immense tapis floral se dresse chaque été devant la mairie, sur la place [10]. La place sert également à plusieurs manifestations toute l'année. Une partie du marché de Noël, notamment la grande roue, s'installe sur la place dès 2015 rendant définitivement interdit le stationnement toute l'année à cet emplacement, y compris lors des exceptions des fêtes de fin d'année comme ce fut le cas dès 1983.
Origine des dénominations
Place devant la Grande Église
Place devant le Palais
Place de la Loi
Place Napoléon
Place de l'Hôtel de Ville
Paradeplatz
Place d'Armes
Place d'Armes - Jacques-François-Blondel
Topographie de la voie
En 2022, un panneau de rue est situé sur le mur du bâtiment du Parlement, à l'angle de la Place Jean-Paul II. Il indique « Place d'Armes » avec une inscription plus petite en-dessous « Jacques-François Blondel ». On retrouve la même plaque sur le bâtiment de la mairie qui fait l'angle avec En Fournirue, et sur le bâtiment de l'Office de Tourisme à l'angle avec la rue des Jardins.
La place sert de parking dans les années 1950 [10]. En 1974, un marquage au sol est ajouté pour les voitures stationnées. Avec le lancement du parking Cathédrale en 1976, le stationnement est interdit en 1977. On y circule encore en voitures dans les deux sens. En 2008, la place passe en zone de rencontre. À date d'octobre 2024 et depuis 2015 (d'abord provisoirement [11]), la rue n'est ouverte aux voitures dans les deux sens que devant le Parlement et le long de la Cathédrale. On compte deux arrêts de bus. Dans le sens Cathédrale - Préfecture :
- Arrêt Place d'Armes
Et dans le sens Cathédrale - Pompidou :
- Arrêt Place d'Armes
Bâtiments et monuments
Statue du Maréchal Fabert et trophées
Sur la place, côté Parlement, une statue du Maréchal Fabert est fondue dans la Fonderie de Richard Eck et Durand en 1840, construite par le sculpteur Antoine Etex. Elle est attachée par deux chaines à deux trophées, sculptés en 1767 par Pierre-François Le Roy (1739-1812) et séparant l'ancienne place d'armes de la nouvelle créée par Blondel entre 1754 et 1842 (lire plus haut).
Les socles des trophées étaient assez grands pour servir d'échoppe à des boutiques et marchands de fruits [5]. Jan & Joël Martel (1896-1966) ont sculpté les bas-reliefs et le blason qui ornent le socle [12]. Transformés en fontaines publiques en 1825, les trophées sont démontés puis remontés en 1841 par le sculpteur Deny, prenant leur taille actuelle [5]. La statue, quant à elle, est inaugurée le 30 novembre 1842 [13],[12]. Sur de nombreuses photos du début du XXe siècle, le Monument Fabert trône côté parlement, faisant face à la place.
Statue au début du XXe siècle
Trophée à la mémoire de la fin de la Seconde Guerre mondiale, en mai 2023.
En juin 1940 durant l'occupation allemande, les statues sont déboulonnées et stockées dans le jardin du Couvent des Pères Franciscains de la rue Marchant [14]. En décembre 1944, les statues sont remises en place, dont celle de Fabert qui revient sur la place d'Armes, sur un nouveau socle, à son emplacement d'origine.
Dans les années 50, le monument est transféré face à l'office de tourisme, toujours pointant en direction du centre de la place, sur un nouveau piédestal en pierre de Jaumont avec quatre reliefs. Les deux trophées sont toujours de l'autre côté, face au bâtiment du Parlement.
D'abord inscrite dans le premier socle, une citation du maréchal [13] a été réécrite sur une plaque de bronze fixée sur le nouveau socle en pierre :
SI POUR EMPECHER QU’UNE PLACE QUE LE ROI M’ A CONFIEE NE TOMBAT AU POUVOIR DE L’ENNEMI, IL FALLAIT METTRE A LA BRECHE MA PERSONNE, MA FAMILLE ET TOUT MON BIEN, JE NE BALANCERAIS PAS UN MOMENT A LE FAIRE
.
Sur les autres faces on retrouve les armoiries de Fabert et ses dates (1599-1662), les cinq blasons d'Arras, Stenay, Landrecies, Saint-Jean de Losne et Suse en Piémont, et les cinq blasons de Sedan, Selestat, Haguenau, Benfeld et Colmar entourés de la maxime Fortitudo Caritas [12].
Faits et anecdotes
Le roi Louis XV, en visite à Metz en 1744, a tenu que la place soit une place d'Armes et non une place royale, symbole d'une ville de garnison. La place était conçue pour être le centre des quatre pouvoirs : religieux (Cathédrale Saint-Étienne), judiciaire (Parlement), politique (Hôtel de Ville) et militaire (corps de Garde).
En mai 1903, de grandes festivités sont préparées sur la place à l'occasion de la visite de l'empereur Guillaume II qui vient inaugurer le nouveau portail de la Cathédrale de Metz [15].
n°12Dans les années 1870, on trouve le restaurant de Louis Metzger dans la voûte Blondel, qui est encore une voûte fermée à cette époque. Le restaurant « Zum Monde » et situé au même endroit que le bar « À la Lune » dont l'entrée se trouve dans la voûte. La Lune a été le plus ancien café de Metz : ouvert en 1838, il est dirigé entre 1904 et 1909 par Paul Vautrin, futur maire de Metz (le fronton affiche les noms de Metzger et Vautrin). Il ne fermera qu'en 2021 pour devenir « Café Blondel ». Haut lieu de la vie associative messine, il a été fréquenté au XIXe siècle et début du XXe siècle par les artistes, le gratin messin et la communauté homosexuelle. Le passage sous la voûte a été fermé en 2012 et transformé jusqu'en 2016 pour devenir une partie de l'établissement.
n°13Au début du XXe siècle, notamment en 1902, le magasin de textiles et literie Samuel Levy (« l'Atelier du Sourcil » en 2022) [Note 3],[Note 4].
n°14Au début du XXe siècle, notamment en 1902, on trouve le « Café central » au n°14 (restaurant « Montecristo » en 2013) [Note 3],[Note 4],[Note 5].
Au début du XXe siècle, notamment en 1902, n°18le magasin « Voelk-Esch » au n°18 (« Tolub » en 2013) [16].
Au début du XXe siècle, notamment en 1902, n°16le restaurant « Furst » au n°16 (boutique d'habillement « Max Mara » en 2013). [Note 3],[Note 4].
Au début du XXe siècle, notamment en 1902, le vendeur de tabac « Wilhelm-Ebenau » (pâtisserie « Jean » en 2013) à l'angle de la Fournirue (n°2) [Note 3],[Note 4].
À l'emplacement de Saint-Pierre-le-Vieux a été construit le corps de garde, devenu une caisse d'épargne, puis après 1918 les Bureaux de la Place, des logements militaires, l'Hôtel du District dans les années 1990 et enfin le syndicat d'initiative et office de tourisme depuis les années 2000 [réf. souhaitée].
En 1846, le pionnier de la photo à Metz, Étienne Casimir Volmerange-Oulif y expose ses photographies sur papier [17].
Histoire des transports
Depuis le début des transports en tramway de Metz, cette place fait office de plaque tournante du réseau de la ville. Avant cela, le tramway hippomobile de 1874 passaient aussi par la place. Le 5 mai 1902, la première section du tramway électrique de Metz est ouverte. Elle traverse la place d'Armes en provenance de Montigny et en passant par la place du roi George et la rue du Palais, puis se dirigeait vers la rue des Jardins, le Pontiffroy jusqu'à la gare de Devant-les-Ponts [Note 3].
Puis le trolleybus et les bus reprendront en partie le tracé, auquel s'ajoutera la ligne se prolongeant vers la place de Chambre. Depuis au moins les années 1970, les bus messins s'arrêtent à l'aubette toujours situé au même endroit, entre les deux trophées. En 2007, on y voit passer les lignes TCRM 5/25 (Moulins - Magny), 9/29 (Devant-les-Ponts - Corchade), 3 (Sablon - Woippy) et 11 (Borny - La Grange-aux-Bois). Avec l'arrivée du Mettis et le déplacement du centre commerçant de la ville vers le quartier de l'Amphithéâtre ou la Place de la République, ainsi que la piétonnisation du centre historique, ce quartier de la ville est délaissé par les transports. En 2023, une seule ligne N83 reliant le centre Pompidou-Metz y passe.
Références
- ↑ 1,0 et 1,1 (fr) WAGNER Sébastien, Dictionnaire historique des rues de Metz, Metz : Editions Serpenoise, 2009 (ISBN 978-2876927919)
- ↑ Voir notamment le plan p.77 de l'ouvrage suivant : (fr) WAGNER Sébastien, Dictionnaire historique des rues de Metz, Metz : Editions Serpenoise, 2009 (ISBN 978-2876927919)
- ↑ (fr) DESTINATION MOSL, « METZ, D'UN SIÈCLE À L'AUTRE » sur Youtube (consulté le 29 avril 2023)
- ↑ (fr) BERRAR Jean-Claude, Metz au début du XXe siècle, Metz : Editions Serpenoise, 2006 (ISBN 978-2876927513)
- ↑ 5,0 5,1 5,2 5,3 5,4 et 5,5 (fr) BERRAR Jean-Claude, Metz au début du XXe siècle, Metz : Editions Serpenoise, 2006 (ISBN 978-2876927513)
- ↑ 6,0 6,1 et 6,2 (fr) BERRAR Jean-Claude, C'était Metz, Strasbourg : Editions du Quotidien, 2015 (ISBN 978-2371640351)
- ↑ (fr) TEXIER Fabienne, Metz, il y a 100 ans en cartes postales anciennes, Prahecq : Editions Patrimoines et médias, 2010 (ISBN 978-2-916757-51-3)
- ↑ (fr) PIERRE, « Les petits secrets de la cathédrale de Metz » sur mon-grand-est.fr (consulté le 30 novembre 2022)
- ↑ (fr) A Corinne, « Metz : la place d’Armes va changer de nom » sur Tout Metz (consulté le 9 février 2023)
- ↑ 10,0 et 10,1 (fr) KILLÉ Céline, « Le parking de la place d'Armes à Metz : c'était il y a près d'un demi-siècle ! » sur republicain-lorrain.fr (consulté le 29 septembre 2024)
- ↑ (fr) REPUBLICAIN LORRAIN, « Metz : circulation modifiée cet été place d’Armes » sur republicain-lorrain.fr (consulté le 29 septembre 2024)
- ↑ 12,0 12,1 et 12,2 (en) VAN DER KROGT René, Peter, « Abraham Fabert » sur vanderkrogt.net (consulté le 1er novembre 2022)
- ↑ 13,0 et 13,1 (fr) Patricia, « Monument au maréchal de Fabert – Place d’Armes – Metz » sur e-monumen (consulté le 1er novembre 2022)
- ↑ (fr) DI GENOVA Bérangère, « Savez-vous où se cachaient Ney et Fabert pendant la Seconde Guerre mondiale ? » sur Le Républicain Lorrain (consulté le 30 octobre 2022)
- ↑ (fr) BARBIAN Fabrice, FLAYEUX Isabelle, Metz d'antan, Metz : Hervé Chopin éditions, 2011 (ISBN 978-2357200784)
- ↑ (fr) BUCCIARELLI Maxime, Metz, un siècle de commerces, Vaux : Serge Domini Editeur, 2007 (ISBN 978-2-912645-98-2)
- ↑ (fr) FAUVEL Christian, C'était hier en pays messin, Metz : Editions Serpenoise, 2008 (ISBN 978-2-87692-780-3)
Notes
- ↑ Une place royale, contrairement aux places médiévales dessinées sans tracé particulier à l'époque antique, sert souvent de décor à une statue équestre ou pédestre d'un illustre souverain au centre.
- ↑ (fr) BECQUET, « 4Fi17 - Metz, la Cathédrale et la place d'Armes (s.d.) » sur Archives municipales de Metz (consulté le 12 décembre 2022)
- ↑ 3,0 3,1 3,2 3,3 et 3,4 Photographies du début du XXe siècle. Voir notamment page 16 de l'ouvrage suivant :(fr) BERRAR Jean-Claude, Metz au début du XXe siècle, Metz : Editions Serpenoise, 2006 (ISBN 978-2876927513)
- ↑ 4,0 4,1 4,2 et 4,3 Photographies du début du XXe siècle. Voir notamment page 10 de l'ouvrage suivant : (fr) BARBIAN Fabrice, FLAYEUX Isabelle, Metz d'antan, Metz : Hervé Chopin éditions, 2011 (ISBN 978-2357200784)
- ↑ Voir l'image 4Fi513 des Archives municipales de Metz.
Bibliographie
- (fr) PASCAL, « Statue du Maréchal Fabert à Metz » sur Petit-Patrimoine (consulté le 1er novembre 2022)
- (fr) BIGOT, Léon, Metz-la-Lorraine, récit de voyage, Paris : Aux bureaux du Voltaire, 1904 (ISBN 9782019216580)