« Thermes de Metz » : différence entre les versions

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Ville romaine sous le nom de ''[[Divodurum]]'', Metz était équipée de '''thermes''', qui se trouvaient au nord du cardo maximus ([[Rue des Trinitaires]] - [[Rue Taison]] - [[Rue de Ladoucette]] - [[Avenue Serpenoise]]), soit sur la [[colline Sainte-Croix]]. Des vestiges ont été mis à jour lors de la construction du [[Musée de La Cour d'Or]] et sont toujours visibles dans les sous-sols.
Ville romaine sous le nom de ''[[Divodurum]]'', Metz était équipée de '''thermes''', dont les principaux se trouvaient au nord du cardo maximus ([[Rue des Trinitaires]] - [[Rue Taison]] - [[Rue de Ladoucette]] - [[Avenue Serpenoise]]), soit sur la [[colline Sainte-Croix]]. Des vestiges ont été mis à jour lors de la construction du [[Musée de La Cour d'Or]] et sont toujours visibles dans les sous-sols. Deux autres ont été construits sous l'ancienne [[rue des Bons Enfants]] et [[rue Poncelet]] <ref>{{Lien web|langue=fr|url=http://l.puska.free.fr/metz/page1.htm|titre=Les thermes ou Bains publics|site=http://l.puska.free.fr/|auteur=PUSKA L.|consulté le=24 janvier 2023}}</ref>.


Pour alimenter les thermes en eau, deux aqueducs sont construits par les Romains à Ars-sur-Moselle et Jouy-aux-Arches au début du [[IIe siècle]]. Un édifice de 23 kilomètres et 118 arches, dont une partie est encore visible aujourd'hui, est mis en place. L'eau en provenance de Jouy arrivait dans un grand bassin de répartition situé au [[Sablon]] <ref>{{Ouvrage/BARAntan}}</ref>
Pour alimenter les thermes en eau, deux aqueducs sont construits par les Romains depuis Gorze à Ars-sur-Moselle et Jouy-aux-Arches au début du [[IIe siècle]]. Un édifice de 23 kilomètres dont plus 1 100 mètres aériens, et 118 arches, dont une partie est encore visible aujourd'hui, est mis en place. L'eau en provenance du bassin de décantation de Jouy arrivait dans un grand bassin de répartition situé au [[Sablon]] <ref>{{Ouvrage/BARAntan}}</ref>, le ''Castellum Divisorium''.


== Références ==
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Ville romaine sous le nom de Divodurum, Metz était équipée de thermes, dont les principaux se trouvaient au nord du cardo maximus (Rue des Trinitaires - Rue Taison - Rue de Ladoucette - Avenue Serpenoise), soit sur la colline Sainte-Croix. Des vestiges ont été mis à jour lors de la construction du Musée de La Cour d'Or et sont toujours visibles dans les sous-sols. Deux autres ont été construits sous l'ancienne rue des Bons Enfants et rue Poncelet [1].

Pour alimenter les thermes en eau, deux aqueducs sont construits par les Romains depuis Gorze à Ars-sur-Moselle et Jouy-aux-Arches au début du IIe siècle. Un édifice de 23 kilomètres dont plus 1 100 mètres aériens, et 118 arches, dont une partie est encore visible aujourd'hui, est mis en place. L'eau en provenance du bassin de décantation de Jouy arrivait dans un grand bassin de répartition situé au Sablon [2], le Castellum Divisorium.

Références

  1. (fr) PUSKA L., « Les thermes ou Bains publics » sur http://l.puska.free.fr/ (consulté le 24 janvier 2023)
  2. (fr) BARBIAN Fabrice, FLAYEUX Isabelle, Metz d'antan, Metz : Hervé Chopin éditions, 2011 (ISBN 978-2357200784)