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==Histoire== | ==Histoire== | ||
{{vide}}Les moines prémontrés de l'ordre de Saint Eloy se sont installés à Metz au [[XIe siècle]]. A la destruction de leur monastère en [[1552]], ils prennent refuge dans l'ancien « [[Palais des Rois d'Austrasie|Palais d'Austrasie]] » <ref>{{Lien web|langue=fr|auteur=GRANDVEAUX Michèle|url=http://promenade.temporelle.free.fr/dotclear/index.php/post/2012/11/07/Rue-du-Haut-Poirier|titre=Rue du Haut Poirier|site=free.fr|consulté le=20 janvier 2025}}</ref>, le bâtiment gallo-romain donné aux Celtes de Gorze par l'empereur Othon, à l'emplacement de l'actuel musée, dans ce qui devient la [[rue Saint Eloy]] <ref name=":0">{{Ouvrage/MARArchi}}</ref>. Il était auparavant occupé par des moines bénédictins de Gorze. En [[1595]], le monastère devient propriété des Jésuites qui y installent un collège en [[1622]] sur ordre d'Henri IV <ref>{{Ouvrage/WAGDico}}</ref>. Ils quittent les lieux, trop étroits, en [[1635]] pour la [[rue Mazelle]]. | {{vide}}Les moines prémontrés de l'ordre de Saint Eloy se sont installés à Metz au [[XIe siècle]]. A la destruction de leur monastère en [[1552]], ils prennent refuge dans l'ancien « [[Palais des Rois d'Austrasie|Palais d'Austrasie]] » <ref>{{Lien web|langue=fr|auteur=GRANDVEAUX Michèle|url=http://promenade.temporelle.free.fr/dotclear/index.php/post/2012/11/07/Rue-du-Haut-Poirier|titre=Rue du Haut Poirier|site=free.fr|consulté le=20 janvier 2025}}</ref>, le bâtiment gallo-romain donné aux Celtes de Gorze par l'empereur Othon, à l'emplacement de l'actuel musée, dans ce qui devient la [[rue Saint Eloy]] <ref name=":0">{{Ouvrage/MARArchi}}</ref>. Il était auparavant occupé par des moines bénédictins de Gorze, bâti au début du [[VIe siècle]] sur les ruines des [[Thermes de Metz|thermes]] <ref name=":1">{{Lien web|langue=fr|auteur=GASSEAU Nicolas|url=https://www.youtube.com/watch?v=QGxyG8MQs3g|titre=Les thermes romain au musée de la Cour d'Or de Metz-Métropole|site=Youtube Riv 54|consulté le=20 janvier 2025}}</ref>. En [[1595]], le monastère devient propriété des Jésuites qui y installent un collège en [[1622]] sur ordre d'Henri IV <ref>{{Ouvrage/WAGDico}}</ref>. Ils quittent les lieux, trop étroits, en [[1635]] pour la [[rue Mazelle]]. | ||
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Le vaste bâtiment en [[pierre de Jaumont]] qui fait office d'entrée du musée depuis [[2018]] est | Le vaste bâtiment en [[pierre de Jaumont]] qui fait office d'entrée du musée depuis [[2018]] est la [[chapelle des Petits Carmes]], construite de [[1670]] à [[1675]] par l'architecte Giovanni dit Jean Beto. Les [[Petits Carmes]] (ou Carmes déchaussés) étaient des religieux installés à [[Metz]] depuis [[1638]], d'abord à l'angle de la [[rue de la Pierre Hardie]] et de la [[rue aux Ours]] puis en [[1644]] dans la [[maison de Saint-Eloy]] (voir plus haut), achetée aux Jésuites. Les religieux sont chassés de ce couvent pendant la Révolution en [[1789]]. | ||
La ville rachète le couvent en [[1791]] et y installe l'Ecole Centrale <ref name=":0" /> puis en [[ | La ville rachète le couvent en [[1791]] et y installe l'Ecole Centrale <ref name=":0" /> puis en [[1807]] la bibliothèque municipale a été installée dans la chapelle <ref>{{Lien web|langue=fr|auteur=EUROMETROPOLE DE METZ|url=https://musee.eurometropolemetz.eu/UserFiles/File/visite-express/parcours-visite-1h.pdf|titre=Visite express 1H|site=musee.eurometropolemetz.eu|consulté le=20 janvier 2025}}</ref>. A son côté droit a été bâti le logement du bibliothécaire, qui faisait office d'entrée de [[1977]] à [[2018]]. | ||
En [[1839]], un musée d'archéologie a été construit dans le logement, un espace de 200 m². Fort de son succès, un aménagement est fait en [[1869]] pour construire en extension l'aile Demoget (parallèle au Mont de Piété et la Caisse d'épargne qui ne sont pas encore utilisés par les musées) et installer les acquisitions de la ville et dons des Messins en tableaux et objets. Un projet pour agrandir le musée avec deux ailes parallèles à la [[rue du Haut Poirier]], à droite du musée, est abandonné <ref>{{Ouvrage|langue=fr|titre=Des musées de Metz au Musée de la cour d'or|auteur=DIEDRICH, Jean-Christophe|ville=Gand (Belgique)|edition=Editions Snoeck|publication=2018|ISBN=9461614209}}</ref>. L'activité est en effet réduite avec l'annexion, l'argent n'est plus disponible dès [[1870]] et le nouveau musée agrandi est inauguré en [[1872]]. En [[1886]], la cour intérieure est construite. | En [[1839]], un musée d'archéologie a été construit dans le logement, un espace de 200 m². Fort de son succès, un aménagement est fait en [[1869]] pour construire en extension l'aile Demoget (parallèle au Mont de Piété et la Caisse d'épargne qui ne sont pas encore utilisés par les musées) et installer les acquisitions de la ville et dons des Messins en tableaux et objets. Un projet pour agrandir le musée avec deux ailes parallèles à la [[rue du Haut Poirier]], à droite du musée, est abandonné <ref>{{Ouvrage|langue=fr|titre=Des musées de Metz au Musée de la cour d'or|auteur=DIEDRICH, Jean-Christophe|ville=Gand (Belgique)|edition=Editions Snoeck|publication=2018|ISBN=9461614209}}</ref>. L'activité est en effet réduite avec l'annexion, l'argent n'est plus disponible dès [[1870]] et le nouveau musée agrandi est inauguré en [[1872]]. En [[1886]], la cour intérieure est construite. | ||
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Au fil des années, les salles s’agrandissent. En [[1977]], la bibliothèque municipale quitte l'ancienne chapelle pour la [[médiathèque du Pontiffroy]]. La chapelle est récupérée par le musée pour y faire une salle d'étude avec des collections du vivant, le conservateur réorganise son parcours et ouvre après 5 ans de travaux sa nouvelle extension le 29 mai [[1980]], autour du [[grenier de Chèvremont]] rénové et de sa cour, où l'[[hôtel de Gronnais]] y est remonté en [[1977]]. Le musée occupait alors un espace de 3 500 m², en comptant le grenier et la [[petite église des Trinitaires]]. | Au fil des années, les salles s’agrandissent. En [[1977]], la bibliothèque municipale quitte l'ancienne chapelle pour la [[médiathèque du Pontiffroy]]. La chapelle est récupérée par le musée pour y faire une salle d'étude avec des collections du vivant, le conservateur réorganise son parcours et ouvre après 5 ans de travaux sa nouvelle extension le 29 mai [[1980]], autour du [[grenier de Chèvremont]] rénové et de sa cour, où l'[[hôtel de Gronnais]] y est remonté en [[1977]]. Le musée occupait alors un espace de 3 500 m², en comptant le grenier et la [[petite église des Trinitaires]]. | ||
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Parmi les pièces figurent l'autel au dieu Mithra, la [[colonne de Merten]] originale, une partie de la [[Maison des Têtes]], le chancel de l'[[église Saint-Pierre aux Nonnains]] ou des plafonds médiévaux en bois peint de [[Metz]]. | Parmi les pièces figurent l'autel au dieu Mithra, la [[colonne de Merten]] originale, une grande mosaïque gallo-romaine découverte [[rue Maurice Barrès]], une partie de la [[Maison des Têtes]], le chancel de l'[[église Saint-Pierre aux Nonnains]] ou des plafonds médiévaux en bois peint de [[Metz]]. | ||
==Architecture== | ==Architecture== |
Version du 20 janvier 2025 à 14:27
ModernePropriétaire:Eurométropole de MetzPatrimoine:Non inscrit, mais label « musée de France »
Le Musée de La Cour d'Or - Eurométropole de Metz, plus communément appelé Musée de la Cour d'Or depuis 1988, anciennement Musées de la Cour d'Or (au pluriel, jusqu'en 2017), est un ensemble de musées d'art, d'histoire et d'archéologie ouvert sous cette forme en 1839 sur un site historique gallo-romain, qui a abrité au fil du temps une chapelle, la bibliothèque municipale, une galerie d'art puis les musées municipaux.
Histoire
Les moines prémontrés de l'ordre de Saint Eloy se sont installés à Metz au XIe siècle. A la destruction de leur monastère en 1552, ils prennent refuge dans l'ancien « Palais d'Austrasie » [1], le bâtiment gallo-romain donné aux Celtes de Gorze par l'empereur Othon, à l'emplacement de l'actuel musée, dans ce qui devient la rue Saint Eloy [2]. Il était auparavant occupé par des moines bénédictins de Gorze, bâti au début du VIe siècle sur les ruines des thermes [3]. En 1595, le monastère devient propriété des Jésuites qui y installent un collège en 1622 sur ordre d'Henri IV [4]. Ils quittent les lieux, trop étroits, en 1635 pour la rue Mazelle.
Le vaste bâtiment en pierre de Jaumont qui fait office d'entrée du musée depuis 2018 est la chapelle des Petits Carmes, construite de 1670 à 1675 par l'architecte Giovanni dit Jean Beto. Les Petits Carmes (ou Carmes déchaussés) étaient des religieux installés à Metz depuis 1638, d'abord à l'angle de la rue de la Pierre Hardie et de la rue aux Ours puis en 1644 dans la maison de Saint-Eloy (voir plus haut), achetée aux Jésuites. Les religieux sont chassés de ce couvent pendant la Révolution en 1789.
La ville rachète le couvent en 1791 et y installe l'Ecole Centrale [2] puis en 1807 la bibliothèque municipale a été installée dans la chapelle [5]. A son côté droit a été bâti le logement du bibliothécaire, qui faisait office d'entrée de 1977 à 2018.
En 1839, un musée d'archéologie a été construit dans le logement, un espace de 200 m². Fort de son succès, un aménagement est fait en 1869 pour construire en extension l'aile Demoget (parallèle au Mont de Piété et la Caisse d'épargne qui ne sont pas encore utilisés par les musées) et installer les acquisitions de la ville et dons des Messins en tableaux et objets. Un projet pour agrandir le musée avec deux ailes parallèles à la rue du Haut Poirier, à droite du musée, est abandonné [6]. L'activité est en effet réduite avec l'annexion, l'argent n'est plus disponible dès 1870 et le nouveau musée agrandi est inauguré en 1872. En 1886, la cour intérieure est construite.
Grâce à la fille de François de Curel en 1932, une somme considérable est allouée à l'extension du musée pour créer une aile et un escalier monumental [3], 270 000 francs soit 21 millions d'euros de 2024. En 1935, à la suite de nouveaux travaux d'aménagements et de la construction de cette aile parallèle (aile François de Curel) à la rue du Haut-Poirier, on découvre les restes des anciens thermes gallo-romains au sous-sol. Ils sont conservés et la partie dédiée à l'archéologie romaine s'organise autour d'eux.
Au fil des années, les salles s’agrandissent. En 1977, la bibliothèque municipale quitte l'ancienne chapelle pour la médiathèque du Pontiffroy. La chapelle est récupérée par le musée pour y faire une salle d'étude avec des collections du vivant, le conservateur réorganise son parcours et ouvre après 5 ans de travaux sa nouvelle extension le 29 mai 1980, autour du grenier de Chèvremont rénové et de sa cour, où l'hôtel de Gronnais y est remonté en 1977. Le musée occupait alors un espace de 3 500 m², en comptant le grenier et la petite église des Trinitaires.
En 2017, le fronton où est indiqué « musées » et plus bas « la cour d'or » transforme le mot « musées » en « musée ».
La cour intérieure du musée, vue sur l'aile derrière le grenier de Chèvremont.
Ancien bâtiment de l'administration du Musée de la Cour d'Or, derrière l'église des Trinitaires, accessible par la cour privée du musée, 4 rue du Haut Poirier.
Entre 2017 et 2018, une partie du musée est rénové pour proposer désormais une grande entrée par le sous-sol de l'ancienne bibliothèque dans la chapelle. L'accueil depuis le 3 juin 2018 se fait alors dans l'ancienne bibliothèque, tandis que les conservateurs et bureaux administratifs se trouvent aux étages.
Le nom du musée fait référence au palais de la Cour d'Or, le château des rois mérovingiens d'Austrasie (VIe - VIIIe siècle) lorsqu'ils dirigeaient une partie de l'Europe, et dont les ruines se trouveraient sous les bâtiments actuels depuis le VIe siècle.
En 2020, sur la volonté de François Grosdidier, le musée, désormais propriété de l'Eurométropole de Metz, annonce la création d'un « pavillon de la biodiversité » dans l'aile nord-ouest, le long de la rue Chèvremont [7]. Cette nouvelle partie de 360 m² située dans l'ancienne bibliothèque de recherche à l'abandon depuis plusieurs années, ouvrira en septembre 2025. Elle permettra de remettre en exposition une petite partie (260 des 35 000 pièces) des collections d'animaux et minéraux conservées depuis 1817 (notamment par les époux Hollandre-Piquemal), visitables dans le musée en 1840 puis retirées en 1976 [8]. Une partie était remisée à la Maison de l'Archéologie et du Patrimoine. La cour intérieure, « cour de la biodiversité », accessible depuis la chapelle, est aussi aménagée pour le public.
En 2023, le musée réunit des collections gallo-romaines, médiévales et de Beaux-Arts sur plus de 6000 m² de surface, avec des pièces de collection intégrés sur le site comme les thermes gallo-romains (au sous-sol du musée principal), le grenier médiéval de Chèvremont (avec une collection au rez-de-chaussée), l'ancienne église des Trinitaires, l'ancienne chapelle des Petits Carmes (où se trouve l'entrée du musée) et un escalier du XVIIe siècle.
Parmi les pièces figurent l'autel au dieu Mithra, la colonne de Merten originale, une grande mosaïque gallo-romaine découverte rue Maurice Barrès, une partie de la Maison des Têtes, le chancel de l'église Saint-Pierre aux Nonnains ou des plafonds médiévaux en bois peint de Metz.
Architecture
Square de la Bibliothèque
Un square a été aménagé devant la bibliothèque en 1867, avec une fontaine monumentale posée sur la rue de la Bibliothèque, reproduction des fontaines du faubourg Saint-Martin à Paris [9]. La grille de ce square a été forgée par le maître ferronnier Cathelinaux. Des marronniers ont été plantés en 1890. Ce square est réduit lors de la construction de la Cité administrative au début des années 1960.
Références
- ↑ (fr) GRANDVEAUX Michèle, « Rue du Haut Poirier » sur free.fr (consulté le 20 janvier 2025)
- ↑ 2,0 et 2,1 (fr) MARTIN Jean, Metz histoire & architecture, Metz : Editions Serpenoise, 1995 (ISBN 2876922231)
- ↑ 3,0 et 3,1 (fr) GASSEAU Nicolas, « Les thermes romain au musée de la Cour d'Or de Metz-Métropole » sur Youtube Riv 54 (consulté le 20 janvier 2025)
- ↑ (fr) WAGNER Sébastien, Dictionnaire historique des rues de Metz, Metz : Editions Serpenoise, 2009 (ISBN 978-2876927919)
- ↑ (fr) EUROMETROPOLE DE METZ, « Visite express 1H » sur musee.eurometropolemetz.eu (consulté le 20 janvier 2025)
- ↑ (fr) DIEDRICH, Jean-Christophe, Des musées de Metz au Musée de la cour d'or, Gand (Belgique) : Editions Snoeck, 2018 (ISBN 9461614209)
- ↑ (fr) MONCELLE, Laurent, « Pavillon de la biodiversité : "la collection messine est exceptionnelle" » sur eurometropolemetz.eu (consulté le 14 février 2024)
- ↑ (fr) VAUCHER, Jonathan, « Pavillon de la biodiversité : Des collections historiques de retour au musée de Metz » sur Moselle TV (consulté le 13 août 2023)
- ↑ (fr) BERRAR Jean-Claude, Metz au début du XXe siècle, Metz : Editions Serpenoise, 2006 (ISBN 978-2876927513)
Bibliographie
- (fr) SARY Monique, La Cour d’Or. Trésors du Musée de Metz, Metz : Editions Serpenoise, 1988 (ISBN 9782876920224)
- (fr) DIEDRICH, Jean-Christophe, Des musées de Metz au Musée de la cour d'or, Gand (Belgique) : Editions Snoeck, 2018 (ISBN 9461614209)