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* Porte du Secours (sortie sud de la Citadelle de Metz pour rejoindre le bastion), sur certains plans nommée aussi Porte de la Citadelle. | * Porte du Secours (sortie sud de la Citadelle de Metz pour rejoindre le bastion), sur certains plans nommée aussi Porte de la Citadelle. | ||
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Au [[IXe siècle]] et au [[Xe siècle]], Metz construit de nouveaux remparts pour défendre la cité, qui englobe désormais l'île du [[Saulcier]], toute l'[[île Chambière]] et l'[[Outre-Seille]]. On entre dans la ville par une multitude de portes et ponts ([[Porte Serpenoise]] et [[Porte Saint-Thiebault]] au sud, [[Porte Maizelle]] et [[porte des Allemands]] sur la [[Seille (cours d'eau)|Seille]], [[pont Thiefroy]] et [[pont des Morts]] sur la [[Moselle (cours d'eau)|Moselle]]). | Au [[IXe siècle]] et au [[Xe siècle]], Metz construit de nouveaux remparts pour défendre la cité, qui englobe désormais l'île du [[Saulcier]], toute l'[[île Chambière]] et l'[[Outre-Seille]]. On entre dans la ville par une multitude de portes et ponts ([[Porte Serpenoise]] et [[Porte Saint-Thiebault]] au sud, [[Porte Maizelle]] et [[porte des Allemands]] sur la [[Seille (cours d'eau)|Seille]], [[pont Thiefroy]] et [[pont des Morts]] sur la [[Moselle (cours d'eau)|Moselle]]). | ||
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[[Catégorie:Militaire à Metz]] | |||
[[Catégorie:Construit au XIIIe siècle]] | |||
[[Catégorie:Construit au XVIIIe siècle]] | |||
[[Catégorie:Construit au XIXe siècle]] | |||
[[Catégorie:Construit au XVIIe siècle]] | |||
[[Catégorie:Monument de Metz]] | |||
[[Catégorie:Histoire de Metz]] |
Version du 5 août 2023 à 21:25
Voici une liste des portes de Metz, qui ont permis au fil des siècles de rentrer et sortir de la cité fortifiée lorsqu'elle disposait de remparts. Certaines sont encore présentes de nos jours dans la ville.
Liste des portes
- Porte de la Citadelle (entrée de l'ancienne Citadelle de Metz se situant à l'emplacement de l'actuel début de l'Avenue Ney), nommée selon certains plans Porte Royale [1] ou Porte Royal de la Citadelle [2].
- Porte du Secours (sortie sud de la Citadelle de Metz pour rejoindre le bastion), sur certains plans nommée aussi Porte de la Citadelle.
- Porte Maizelle (actuelle place Mazelle)
- porte des Allemands sur la Seille (deux portes au fil des siècles)
- Porte Saint-Thiebault au sud,
- Portes du pont Thiefroy et pont des Morts sur la Moselle
- porte en Chandellerue, la porte des Repenties, la poterne Saint-Nicolas,la porte Sainte-Barbe, la porte du pont Dame-Colette, la porte du Haut-Champé, la porte de France, la Porte du Pont Rémond, la Porte de la Saux-en-Rhimport, la Porte de Chambière, la Porte de l'Hôtel-Lambert, la porte d'Outre-seille,la porte d'Anglemur et la porte de Patar [3].
- Porte Saint-Louis dans la Citadelle (18e), anciennement Porte d'Enfer (17e)
Historique
Au IXe siècle et au Xe siècle, Metz construit de nouveaux remparts pour défendre la cité, qui englobe désormais l'île du Saulcier, toute l'île Chambière et l'Outre-Seille. On entre dans la ville par une multitude de portes et ponts (Porte Serpenoise et Porte Saint-Thiebault au sud, Porte Maizelle et porte des Allemands sur la Seille, pont Thiefroy et pont des Morts sur la Moselle).
Au XIe siècle, le Saint-Empire romain germanique fonde la principauté épiscopale de Metz, un État dont Metz est la capitale autant du diocèse (fondé au IVe siècle) que de la principauté. Metz devient une ville libre d'Empire au sein du Saint-Empire romain germanique en 1180.
En 1234, le pouvoir épiscopal messin affirme son assise dans la cité, ce qui n'est pas au goût des familles messines. A l'issue de la Guerre des Amis, l'évêque de Metz Jean Ier d'Apremont est chassé par les bourgeois messins et la ville devient la république messine, un gouvernement autonome oligarchique et républicain au sein de l'Empire. La ville obtient sa notoriété de « Metz la riche ». En 1235, les remparts sont renforcés avec 6 km de murailles et 38 tours [4]. En 1324, on entre dans 18 portes désormais : la porte Serpenoise, la porte Saint-Thiébaut, la porte en Chandellerue, la porte des Repenties, la poterne Saint-Nicolas, la porte Mazelle, la porte des Allemands, la porte Sainte-Barbe, la porte du pont Dame-Colette, la porte du Haut-Champé, la porte de France, la Porte du Pont Rémond, la Porte de la Saux-en-Rhimport, la Porte de Chambière, la Porte de l'Hôtel-Lambert, la porte d'Outre-seille, la porte du Pontiffroy, la porte du pont des Morts, la porte d'Anglemur et la porte de Patar [5].
Références
- (fr) VAUCHER Jonathan, « La Citadelle de Metz » sur Google Maps (consulté le 23 juillet 2023)
- (fr) INCONNU, « Metz, histoire des portes et remparts » sur Google Maps (consulté le 23 janvier 2023)
- (fr) INCONNU, « Plan des ville et citadelle de Metz et ses projets, 1778 » sur limédia galeries (consulté le 23 juillet 2023)
- (fr) INCONNU, « Plan des ville et citadelle de Metz, pour servir aux projets de 1774 » sur limédia galeries (consulté le 23 juillet 2023)
- (fr) INCONNU, « Plan de la citadelle de Metz : 1747 » sur limédia galeries (consulté le 23 juillet 2023)
- (fr) INCONNU, « Plan des ville et citadelle de Metz et ses projets, 1778 » sur limédia galeries (consulté le 23 juillet 2023)
- ↑ https://galeries.limedia.fr/ark:/79345/d4wz1mfm26wp1gwr/
- ↑ https://galeries.limedia.fr/ark:/79345/dnd3wqtx13wr6g4g/
- ↑ (fr) BLE, « Comment les Allemands transformèrent Metz au début du XXème siècle » sur BLE Archives (consulté le 15 juillet 2023)
- ↑ (fr) BOUR René, Histoire de Metz, Metz : Éditions Serpenoise, 1978 (ISBN 978-2876923645)
- ↑ (fr) BLE, « Comment les Allemands transformèrent Metz au début du XXème siècle » sur BLE Archives (consulté le 15 juillet 2023)