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« Rue d'Enfer » : différence entre les versions
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Dans le ''Séjour de Rabelais à Metz'' de [[Georges Ducrocq]] <ref>{{Ouvrage|langue=fr|auteur=DUCROCQ Georges|titre=Le séjour de Rabelais à Metz|ville=Metz|edition=sn|publication=1905}}<small>([https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k102444v/f118.image lire en ligne])</small></ref>, la rue est dépeinte comme une ruelle mal famée au [[XVIe siècle]] : « truands, ribaudes, ménestrels, gens sans aveu, ni foi ni loi, menaient vacarme dans cette rue étroite, et des grilles qu'on fermait tous les soirs, à la brune, les empêchaient de courir la ville et d'inquiéter les bourgeois. Le moyen âge n'avait pas trop d'admiration pour les baladins ; il les reléguait dans les bas-quartiers avec les juifs et autres parias ». | Dans le ''Séjour de Rabelais à Metz'' de [[Georges Ducrocq]] <ref>{{Ouvrage|langue=fr|auteur=DUCROCQ Georges|titre=Le séjour de Rabelais à Metz|ville=Metz|edition=sn|publication=1905}}<small>([https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k102444v/f118.image lire en ligne])</small></ref>, la rue est dépeinte comme une ruelle mal famée au [[XVIe siècle]] : « truands, ribaudes, ménestrels, gens sans aveu, ni foi ni loi, menaient vacarme dans cette rue étroite, et des grilles qu'on fermait tous les soirs, à la brune, les empêchaient de courir la ville et d'inquiéter les bourgeois. Le moyen âge n'avait pas trop d'admiration pour les baladins ; il les reléguait dans les bas-quartiers avec les juifs et autres parias ». |
Version du 3 janvier 2023 à 23:46
La rue d'Enfer est une ruelle pentue des Hauts de Sainte-Croix.
Histoire
François Rabelais a fuit la France, il devient en 1545 et pendant deux ans médecin stipendié de la ville de Metz [1]. Au service de la cité, il demeure chez Estienne Lorens, seigneur de Saint-Ayl (aujourd'hui Joeuf) dans cette rue [2] située dans le quartier de l’Ancienne Ville, qui est devenue la Maison de Rabelais.
Dans le Séjour de Rabelais à Metz de Georges Ducrocq [3], la rue est dépeinte comme une ruelle mal famée au XVIe siècle : « truands, ribaudes, ménestrels, gens sans aveu, ni foi ni loi, menaient vacarme dans cette rue étroite, et des grilles qu'on fermait tous les soirs, à la brune, les empêchaient de courir la ville et d'inquiéter les bourgeois. Le moyen âge n'avait pas trop d'admiration pour les baladins ; il les reléguait dans les bas-quartiers avec les juifs et autres parias ».
Origine des dénominations
Bâtiments et monuments
Faits et anecdotes
Références
- ↑ (fr) LEGRAS Bernard, « François Rabelais, médecin stipendié de la ville de Metz » sur La médecine à Nancy depuis 1872 (consulté le 10 octobre 2015)
- ↑ (fr) CHARDAK Henriette, Le mystère Rabelais, Monaco : Editions du Rocher, 2011 (ISBN 978-2268071039)
- ↑ (fr) DUCROCQ Georges, Le séjour de Rabelais à Metz, Metz : sn, 1905 (ISBN n/c) (lire en ligne)